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Exposition « Cabarets ! » dès le 9 décembre 2023 au Centre National du Costume et de la Scène

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À partir du samedi 9 décembre 2023, le Centre national du costume et de la scène propose une exposition sur le thème du Cabaret. 120 costumes provenant de maisons historiques comme le Paradis Latin, le Moulin Rouge, le Lido, le Crazy Horse ou de Chez Michou, ainsi que d’artistes indépendants, qui peuplent les nouveaux cabarets « indisciplinaires », illustrent le large spectre de la création depuis l’excellence des métiers d’art, ateliers spécialisés, créateurs haute couture, jusqu’à celle de la débrouille géniale où tout est imaginé pour faire rêver et proposer une soirée d’exception, hors du quotidien. Un parcours où se croisent de grandes figures comme Zizi Jeanmaire, Line Renaud, Jean-Marie Rivière, Michou, Dita Von Teese et les créatures fantasques d’aujourd’hui comme la Big Bertha, l’Oiseau Joli, Kiki Béguin, Lola Dragoness Von Flame, Miss Knife… qui revisitent le cabaret avec élégance et insolence.

Indémodable, le cabaret puise ses origines dans les cafés-concerts parisiens du milieu du XIXe siècle, où chacun pouvait venir boire, fumer, écouter d’authentiques chanteurs ou tenter de monter sur scène. Lieux de rencontres variées plus ou moins prévisibles, lieux de diversité, de mixité sociale et d’émancipation, ces cafés-concerts élargissent peu à peu leur programmation à une large palette de propositions artistiques au cours du XIXe siècle. Ouvrent alors des établissements de « variété », dont les Folies Bergère est le premier en 1869, puis d’authentiques « cabarets » à commencer par le Chat Noir en 1881, puis le Moulin Rouge en 1889, année qui voit la réouverture du Paradis Latin qui passe alors de Théâtre à lieu d’« excentricités ».
Le music-hall, terme apparu en Angleterre, se diffuse dans toutes les capitales d’Europe entre la fin du XIX e siècle et les années 1930, sur un modèle cousin du cabaret et une recherche de toujours plus de glamour, de faste et d’émerveillement. Paris voit alors fleurir de nombreuses salles qui s’emparent de cette forme de spectacle, fréquentées par une foule de spectateurs français et étrangers. Les Folies Bergère, le Paradis Latin, le Moulin Rouge, le Lido, le Casino de Paris, l’Olympia, l’Alhambra, Bobino… connaîtront cependant différentes évolutions au cours de leur existence. Aujourd’hui, certaines de ces institutions perpétuent le merveilleux des spectacles de revues, montrant une vitrine de la création française, qui attire toujours un public national et international.
En parallèle de ces shows à grand spectacle, un cabaret plus intimiste reste présent, à Montmartre comme rive gauche, dans des soirées qui font écho aux revendications et évolutions sociales. Depuis Chez Michou, où le transformisme permet aux couples gays de se divertir dès 1956, jusqu’aux caves du Quartier latin où la jeunesse des années 1960 se dévergonde sur des rythmes endiablés, les cabarets et leurs succédanés voient émerger de nouvelles formes artistiques.
En ce début de XXI e siècle, les cabarets, de plus en plus nombreux, s’affirment totalement dans le paysage de la création contemporaine. Jouant des codes sociétaux, de la liberté d’expression, de l’émancipation du genre et de la fête, ils se positionnent aux croisements des sujets actuels et des esthétiques en renouvellement.

L’exposition a pour intention de présenter un reflet de la place du cabaret aujourd’hui, à la fois dans son immuabilité et dans son renouveau. Plus que jamais, le cabaret produit de nouveaux artistes, de nouvelles collaborations, rassemble de nouveaux publics, intéresse de nouveaux médias, mais aussi des recherches universitaires, revues spécialisées, lieux ressource, lieux de formation et enfin, l’intérêt du ministère de la Culture et de sa Direction générale de la création artistique (DGCA) qui a mené une étude sur ce secteur d’activité en 2022-2023.

Le parcours
Comme au cabaret, le visiteur entre dans l’exposition par le Foyer qui rassemble le public avant l’entrée dans la salle de spectacle. Piano bar, affiches et programmes aux murs, cette première salle rend hommage aux grandes Egéries du cabaret : Zizi Jeanmaire, Line Renaud, Dalida, Barbara, Jean-Marie Rivière, Michou sont accompagnés par l’Oiseau Joli à l’accordéon et Jean Biche, artiste multidisciplinaire de la nuit.
Depuis ce Foyer, une salle conçue comme une Loge, remplie de costumes encore suspendus aux patères, de perruques, de chaussures, bijoux et divers autres accessoires, évoque les coulisses de ces espaces intimes, lieux de métamorphose avant le passage dans une autre dimension.
Le parcours conduit ensuite le visiteur à la découverte des costumes prêtés par différentes maisons parisiennes : le Paradis Latin et la revue On ira tous au Paradis, mise en scène en 2019 par Kamel Ouali, costumes de On aura tout vu ; le Moulin Rouge et sa revue Féerie, créée en 1999 mise en scène par Doris Haug et Ruggero Angeletti, costumes de Corrado Collabucci ; le Lido et sa revue Bravissimo créée en 1994 mise en scène par Bob Turk, René Fraday, costumes de Folco ; le Crazy Horse, ses emblématiques Crazy
Girls et ses fameuses collaborations artistiques ; Chez Michou, un mélange hétéroclite de costumes emblématiques portés par les Michettes au cœur de l’histoire de ce cabaret.
Les salles suivantes mêlent les costumes d’artistes indépendants, créatures performant dans des cabarets comme le Secret, le Cabaret de Poussière, La Bouche, les Bas Nylons, Madame Arthur, Cabaret burlesque, etc. réunis en quatre thématiques : Couture, Burlesque, Fantastiques et Freaks. Ces artistes et collectifs d’artistes développent sur
scène des personnages parfois ambigus, volontiers provocants, toujours inventifs et dans la recherche d’un lien singulier avec le public. Ils s’emparent des codes vestimentaires pour les brouiller, les malaxer et produire des silhouettes marquantes, où la paillette le dispute au plastique, le strass au latex et la plume devient étendard ou
dérisoire, selon l’humeur…
Grand final, la dernière salle présente un feu d’artifice de costumes, un reflet rêvé des différentes modernités visibles aujourd’hui sur les scènes de cabaret et music-hall, sous le regard d’une figure de proue, égérie anonyme, vêtue d’un seul immense manteau d’escalier des Folies Bergère.

Le Centre national du costume et de la scène
Situé dans une ancienne caserne militaire du XVIIIe siècle classée Monument historique, le CNCS a attiré depuis son ouverture en 2006 plus d’un million de visiteurs.
Véritable fleuron du patrimoine artistique, le CNCS conserve, montre et explique les œuvres d’une collection unique au monde composée aujourd’hui de 10 000 costumes de théâtre, de danse et d’opéra du milieu du XIX e siècle à nos jours provenant de dépôts des trois institutions fondatrices du Centre, la Bibliothèque nationale de France, la Comédie-Française et l’Opéra national de Paris, auxquels sont venus s’ajouter de nombreux dons de compagnies, d’artistes et de théâtres.
En avril 2023, le CNCS a inauguré « La Scène », un nouvel espace d’une superficie de 2 000 m² dont une partie dédiée à la scénographie théâtrale qui s’inscrit dans la continuité du parcours de visite, en valorisant les métiers des arts de la scène.
Ce musée unique au monde a présenté plus de 33 expositions saluées par le public et abrite depuis 2013 la collection du danseur Rudolf Noureev soit un ensemble de 3 500 pièces.
Grâce à son savoir-faire et sa forte créativité, le CNCS s’affiche comme un emblématique équipement touristique de la région Auvergne-Rhône-Alpes et rayonne au-delà des frontières avec l’itinérance de ses expositions.

Exposition
Du 9 décembre 2023 au 30 avril 2024
Ouverture tous les jours de 10h à 18h
2h30 de Paris et Lyon en train

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Dinos Alive – The Immersive Experience

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Arriva per la prima volta a Milano la più sorprendente mostra immersiva dedicata al mondo dei dinosauri

Dinos Alive – The Immersive Experience, la straordinaria avventura che permetterà ai visitatori di immergersi dell’affascinante mondo dei dinosauri approda per la prima volta in Italia, a Milano. A partire dal 6 Novembre La “Cattedrale”, il nuovo spazio espositivo di 2.500 metri quadri del Certosa District sarà il teatro di questo affascinante viaggio alla scoperta del nostro pianeta quando esso era ancora dominato dalle incredibili e possenti creature del giurassico.

Dinos Alive – The Immersive Experience
è una mostra innovativa che si avvale di informazioni scientifiche e di apparati tecnici di ultima generazione per offrire un percorso espositivo completo e di grande valenza formativa. Le tecnologie multimediali accuratamente integrate negli allestimenti, completano in modo particolarmente suggestivo le installazioni scenografiche e le ricostruzioni sorprendentemente realistiche di un mondo esistito oltre 65 milioni di anni fa.

Dinos Alive – The Immersive Experience
ci invita a vivere una nuova esperienza a contatto con le creature che popolavano la Terra prima della grande estinzione che mise fine al periodo giurassico e che ci ricorda oggi anche quanto possano essere delicati gli equilibri che regolano gli ecosistemi e la sopravvivenza sul pianeta, invitandoci anche a non dare per scontata la sopravvivenza quanto piuttosto a riflettere sui grandi temi del presente, come quello della sostenibilità.

L’esposizione è anche un omaggio alla possenza della natura che rivela sé stessa e i suoi segreti nelle oltre 40 riproduzioni di dinosauri animatronici a grandezza naturale tra i quali spiccano un magnifico esemplare del temibile Tyrannosaurus Rex, l’imponente Triceratopo e il tanto piccolo quanto feroce Velociraptor.

La mostra permette di avvicinarsi a queste creature in modo inedito e particolarmente coinvolgente. Ogni dinosauro è stato realizzato con grande cura nei dettagli e nelle automazioni. Gli esemplari sono quindi sorprendentemente naturali sia nelle movenze, sia nelle espressioni.

L’esposizione si sviluppa attraverso una serie di ambienti tematici che seguono l’evoluzione dei dinosauri nel corso delle ere geologiche: i visitatori avranno la possibilità di ritrovarsi nelle ambientazioni che riproducono fedelmente i paesaggi dell’era mesozoica, popolati da esseri giganti che camminano, nuotano oppure volano.

Il percorso espositivo è accompagnato da approfondimenti scientifici che raccontano la storia della Terra e dei dinosauri fornendo informazioni sulle più recenti scoperte paleontologiche.
Tra le attrazioni più affascinanti si conta l’acquario virtuale che permette di immergersi nelle profondità dei mari, osservando da vicino i grandi predatori marini come il Mosasauro, che regnava incontrastato negli abissi di un tempo.

Dinos Alive – The Immersive Experience si distingue dalle altre esposizioni sull’argomento per la perfetta combinazione tra l’educazione e l’intrattenimento e offre anche spazi di espressione adatti a tutte le età.
Il percorso prevede inoltre un’area dedicata ai più piccoli, che, in veste di aspiranti paleontologi, potranno vivere l’emozione di scoprire anche fossili “interrati”, imparando, quindi, come si è arrivati a determinare le caratteristiche morfologiche degli esemplari più conosciuti.
Da generazioni, i dinosauri suggestionano il nostro immaginario. Grazie a film iconici come la saga di Jurassic Park, e serie animate come Dinosauri, questi giganti preistorici sono diventati una parte integrante della nostra cultura popolare e collettiva. Dinos Alive – The Immersive Experience segna ora la più moderna evoluzione del tema e lo fa in modo ancora più “immersivo”, con un risultato spettacolare ed emozionante.

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Dinos Alive – An Immersive Experience è più di un viaggio nel cuore del Giurassico, è un’esperienza immersiva che
sposa nuove tecnologie ed elementi educativi, attirando un pubblico di tutte le età“, ha dichiarato Hamza El Azhar, CEO di Exhibition Hub, co-produttore e curatore di Dinos Alive – An Immersive Experience. “Dopo l’enorme successo di Dinos Alive! in tutto il mondo – da Los Angeles a Melbourne a Washington D.C.- e l’enorme successo delle nostre altre mostre a Milano, siamo particolarmente entusiasti di aprire questa unica esperienza immersiva, e in una nuova sede destinata a diventare una delle più dinamiche della città in termini di intrattenimento“.

Siamo entusiasti di portare Dinos Alive – The Immersive Experience a Milano, consolidando il successo delle nostre
precedenti collaborazioni con Exhibition Hub in città”, aggiunge Pedro Baptista, Exhibition Hub Senior Team Lead
presso Fever.La nostra partnership di lunga data ha costantemente offerto esperienze indimenticabili che affascinano il pubblico locale, e siamo entusiasti di continuare questa tradizione con un’altra avventura immersiva che combina educazione, intrattenimento dal vivo e tecnologia digitale all’avanguardia. Milano è stata una pietra angolare per la crescita di Fever, e siamo orgogliosi di contribuire alla ricca scena culturale della città con esperienze innovative e coinvolgenti”.

Dinos Alive – The Immersive Experience è un ulteriore capitolo del viaggio nel tempo nato dalla coproduzione tra Exhibition Hub e Fever che a Milano hanno già saputo conquistare il pubblico con mostre di grande successo come The Art of The Brick, Van Gogh – The Immersive Experience e Titanic – An Immersive Voyage – tuttora in corso presso Lampo Scalo Farini a Milano.

I biglietti per Dinos Alive – The Immersive Experience sono disponibili per l’acquisto, insieme a tutte le informazioni
pratiche, sul sito ufficiale dinosaliveexhibit.com.

Dal 6 novembre presso la Cattedrale del Certosa District, Via Barnaba Oriani 27 – Milano

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Gabrio Gentilini sarà il protagonista nel ruolo di Johnny Castle nella nuova versione di “Dirty Dancing”, in scena al Teatro Carcano di Milano a partire dal 12 dicembre 2024.

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Gabrio Gentilini sarà il protagonista nel ruolo di Johnny Castle nella nuova versione di “Dirty Dancing“, in scena al Teatro Carcano di Milano a partire dal 12 dicembre 2024.
Gabrio, già protagonista con l’iconico personaggio di Johnny Castle della prima assoluta italiana dello spettacolo nel 2014, torna a indossare i panni del carismatico ballerino, reso immortale dall’intepretazione di Patrick Swayze nel film del 1987, per celebrare il decennale del debutto dello spettacolo in Italia. La regia è ancora una volta affidata a Federico Bellone, che ha curato la messa in scena sin dal debutto italiano.
Per la prima volta, “Dirty Dancing” sarà rappresentato in un teatro di prosa di grande prestigio, il Teatro Carcano di Milano, noto per il suo impegno nella promozione di tematiche sociali e culturali di rilevanza, con un’attenzione particolare verso le questioni femminili.
Lo spettacolo comprenderà tutti i celebri numeri musicali e le coreografie che hanno reso indimenticabile e un vero e proprio cult il film, unendo narrazione teatrale, canzoni e balli in un’esperienza unica.
Gabrio Gentilini commenta così il suo ritorno a Dirty Dancing: “Sono trascorsi 10 anni da quando Eleanor Bergstein mi scelse per il debutto italiano di “Dirty Dancing”, lei che scrisse questa storia indimenticabile e lanciò Patrick Swayze nel ruolo iconico di Johnny Castle. Dieci anni! In questo tempo mi sono dedicato alla mia crescita come attore, esplorando nuovi mondi e accumulando esperienze diverse. Ora torno a questa avventura con il desiderio di mettermi nuovamente alla prova come protagonista, pronto a godermi l’energia del pubblico, con rinnovato entusiasmo e profonda gratitudine. Essere stato scelto ancora una volta, dopo tanto tempo, è per me un privilegio che non do per scontato. In questi anni ho acquisito nuove consapevolezze, su me stesso e sul mondo, e voglio infondere queste nuove scoperte in una storia che, ancora oggi, riesce a toccare il cuore di tante persone. Questa volta torniamo in scena con una nuova versione, in prosa ma con tutti i balli e le canzoni che hanno reso questo titolo un vero cult, nell’ambito della prestigiosa stagione del Teatro Carcano, ricca di temi che non solo intrattengono, ma celebrano con attenzione l’universo femminile e promuovono una riflessione profonda. E lo faremo durante il periodo natalizio, il che rende tutto ancora più speciale nel dare vita e colore alla magia di questo spettacolo iconico! Sono davvero onorato e grato a chiunque vorrà condividere con me questo viaggio, che per me si rinnova di una luce speciale.”

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L’abito dell’arte

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PoliArt Contemporary di Milano ha presentato  L’ABITO DELL’ARTE,  durante la Milano Fashion Week questo  Settembre 2024 in Viale Gran Sasso 35, con  la  quinta mostra di Giovanni Lombardini negli spazi della galleria milanese.

La mostra in collaborazione con MP Moda International Fashion School dove i  giovani designers si sono  ispirati dalla ricerca dell’artista riminese, esponendo ciascuno il proprio corrispettivo. Tra i designer , anche Flaminia Lamborghini che ha presentato un suo look.Tanti sono stati gli ospiti da Saverio Palatella, stilista internazionale riconosciuto per il suo talento nella maglieria a Roberta Tagliavini di RobertaeBasta esperta d’arte e personaggio Tv e molti altri.

MP Moda International Fashion School ha voluto in questo modo segnare in modo tangibile l’attinenza della moda con l’arte, due mondi che si parlano in continuazione e incidono profondamente, nella formazione dei giovani designers per cultura ed ispirazione e che continueranno ad ispirare nella loro carriera professionale.

Tutto questo vive in chi ha il coraggio di aprire veramente gli occhi davanti a loro. Perché ogni opera di Lombardini ha un proprio sguardo, coincidente con l’altro sguardo, sempre invitato ad entrare.

L’Abito dell’arte è proprio questa reciproca e possibile fusione, che l’esperienza artistica, antica o moderna, pone come proprio segreto visibile alla storia e all’intessersi delle sue epoche. L’abito è anche un “io abito”, un ubi consistam: abitare, abitarsi, abitare sé stessi per imparare a crearsi.

Eppure l’abito è anche ciò che da sempre donne e uomini indossano, troppo spesso purtroppo perdendosi in vacue superficialità. In questa mostra, per i giovani designers invitati, L’Abito dell’arte è il tentativo di trasfondere negli abiti un lavoro su di sé e con sé, cui l’arte di Lombardini sempre allude, perché l’abito può essere il luogo, il primo luogo, in cui realizzare l’altro modo dello specchiarsi: l’esemplarità. Non si tratta quindi di una mera riproduzione di stilemi su tessuti, ma del tentativo di un vero e proprio intessersi della vita e dell’arte nell’esperienza creativa dei giovani designers, che sono il primo immediato accesso all’altro specchio, quello del futuro.

Per questi motivi la PoliArt Contemporary ha accolto con grande interesse la proposta di MP Moda International Fashion School.

Il ventennale sodalizio tra la PoliArt Contemporary e Lombardini ha prodotto numerose esposizioni pubbliche e private, occasioni di approfondimento di una tra le poetiche più interessanti del panorama contemporaneo. Oltre alle mostre tematiche in galleria, sia a Milano che nella succursale roveretana della PoliArt (dal 2013 al 2018), dedicate a diversi cicli creativi dell’artista, la PoliArt Contemporary ha promosso esposizioni pubbliche, come la mostra antologica 99>11 Verso il Colore, al Museo della Città di Rimini nel 2011 e la mostra Lucio Fontana. La sua lunga ombra, quelle tracce non cancellate, del 2019, in cui sono presenti le opere di Lombardini come esempi di una ricerca che fonde pittura e oggetto (entrambe a cura di Leonardo Conti).

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